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Personnes atypiques

(HPI, Hypersensibles, Aspi, TDAH, etc.)

pensée en arborescence - haut potentiel

Le coaching est tout particulièrement adapté aux personnes atypiques, parce que j'utilise des techniques qui permettent l'accueil des émotions et l'accompagnement d'un mental très actif (entre autre, mind mapping pour canaliser la pensée en arborescence, pleine conscience, hypnose, massage).

L'accompagnement vers une recherche de sens et la découverte de son identité profonde me passionne !

Qu’est-ce qu’une personne atypique ?

Peut-être vous êtes-vous déjà demandé « Est-ce que je suis une personne atypique ? », « Pourquoi suis-je différent.e ? » ou « Pourquoi les autres me trouvent bizarre ? ».

HPI, Hypersensibles, Aspi, TDAH et autres DYS

Sous la dénomination « personne atypique », on entend communément tous les profils qui sortent de la « norme », comme les HPI (hauts potentiels intellectuels, zèbres ou anciennement « surdoués »), HPE (hauts potentiels émotionnels), HPS (hauts potentiels sensibles) ou Hypersensibles, Asperger (sous-catégorie du TSA - troubles du spectre autistique), profils DYS (dyslexique, dysphasique, dyspraxique, etc.), TDAH (Trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité).

 

S’il existe bien sûr des tests à faire chez des psychologues spécialisés pour y voir plus clair si l’on en ressent le besoin, j’accorde personnellement de la valeur à cette sensation d’être « différent.e » ou « bizarre ».

Sensation d’être différent.e ou bizarre

Parfois, on peut se sentir différent.e et incompris, comme si on n’était simplement pas né.e au bon endroit, à la bonne époque, comme si la société qui nous entoure était incompréhensible. Comme si notre sensibilité profonde et nos valeurs essentielles étaient complètement en inadéquation avec celles de la société.

Rejet, sur-adaptation ou envie de fuite

Cette impression engendre souvent une sensation de rejet (réel ou imaginé) et les réactions typiques des atypiques vont être soit une sur-adaptation pour correspondre à la norme (et que c’est épuisant !), soit une envie de fuir dans un ashram au fin fond de l’Himalaya.

Le résultat étant bien souvent un mal-être (une souffrance) et de la peine à trouver sa place.

Comment trouver sa place ?

Le travail d’acceptation doit bien souvent commencer par soi-même (et là on pourrait dire soi-m’aime, comme on le lit souvent, et même si c’est beau et bien trouvé, cela me donne envie de m’arracher les cheveux tellement c’est cucul, pas vous ?).

Mais revenons à nos moutons : Se connaître, s’aimer et s’accepter. Cela implique de s’observer, repérer ses schémas, croyances limitantes et réactions. Cela nécessite d’accueillir ses émotions pour écouter ses besoins et être à même d’y répondre. Mais n’allons pas trop vite…

 

S’accepter, c’est s’accepter entièrement, dans ses parties lumineuses comme dans ses parties plus sombres. C’est un travail intérieur, avant de se tourner vers l’autre et d’oser s’affirmer, communiquer avec assertivité (exprimer ses besoins tout en respectant ceux de l’autre). Et tout ça, ça s’apprend.

Passage à l’action

En tous les cas, il faut être prêt à se remettre en question, à être ouvert.e aux prises de conscience… Par exemple en cherchant peut-être en quoi on rejette aussi les autres, parce qu’on ne les comprend pas… Eh oui ça marche dans les deux sens.

 

Et il y a un bout de chemin jusqu’à l’amour inconditionnel. Mais comme « Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas » (Lao Tseu), si vous vous vous êtes reconnu.e à travers ce texte, je mets mon authenticité, mes outils et mon expérience à votre service pour faire un bout de chemin ensemble !

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